Comment perdre une élection présidentielle à coup sûr

Robert Laffont - EAN : 9782221126479
Patrice Carmouze
Édition papier

EAN : 9782221126479

Paru le : 3 nov. 2011

18,50 € 17,54 €
Epuisé
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Manquant sans date
Notre engagement qualité
  • Benefits Livraison gratuite
    en France sans minimum
    de commande
  • Benefits Manquants maintenus
    en commande
    automatiquement
  • Benefits Un interlocuteur
    unique pour toutes
    vos commandes
  • Benefits Toutes les licences
    numériques du marché
    au tarif éditeur
  • Benefits Assistance téléphonique
    personalisée sur le
    numérique
  • Benefits Service client
    Du Lundi au vendredi
    de 9h à 18h
  • EAN13 : 9782221126479
  • Réf. éditeur : 516642
  • Editeur : Robert Laffont
  • Date Parution : 3 nov. 2011
  • Disponibilite : Manque sans date
  • Barème de remise : NS
  • Nombre de pages : 210
  • Format : H:216 mm L:136 mm E:18 mm
  • Poids : 263gr
  • Résumé :

    Contrairement à une idée reçue, l'élection présidentielle ne se gagne pas, elle se perd !

    À l'exception du cas atypique du général de Gaulle, jamais, dans l'histoire de la Ve République, le favori de l'élection ne l'a emporté. Tous favoris, les Poher, Chaban, Rocard, Balladur, Jospin, Royal, Strauss-Kahn n'ont pas réussi accéder à la fonction suprême. Outre les " Je vous demande de vous arrêter ! ", et autres " bravitudes ", quelles fautes, quelles erreurs répétées à travers les élections successives expliquent ces échecs ? Et pourquoi des individus qui ont derrière eux de longues années d'apprentissage, qui connaissent tout des mœurs politiques, qui sont informés au jour le jour des soubresauts et des souhaits de l'opinion, finissent-ils par commettre autant d'irréparables bévues, que ce soit à la mairie de Conflans-Sainte-Honorine ou dans un Sofitel à New York ?
    Conséquence directe de la défaite des favoris : le président élu n'est pas le représentant du " mieux disant " mais celui du " moindre mal ". Autrement dit, il n'est qu'un président par défaut. Il n'est pas celui qui a gagné l'élection présidentielle, mais celui qui ne l'a pas perdue. Or les présidents successifs se croient investis d'une légitimité qui leur permet de mener la politique de leur choix. C'est une erreur profonde. Convoqués à l'élection présidentielle comme au plus grand spectacle de la politique, les Français font simplement leur devoir en éliminant celui qu'ils jugent le moins capable ou le moins digne d'exercer la charge suprême. Une fois ce devoir accompli, ils rentrent chez eux fiers d'avoir débarrassé le pays du danger qui le menaçait.
    Du syndrome Balladur (ou comment perdre une élection en pensant qu'elle est jouée d'avance) au syndrome Jospin (ou comment l'absence de désir conduit inexorablement à l'échec), des cas Juppé et Fabius (ou le massacre des dauphins) au cas Le Pen (ou l'éternel candidat qui ne souhaite surtout pas être élu), la démonstration enlevée et drôle de Patrice Carmouze, spécialiste des échecs, bourdes et bévues en tout genre, est très convaincante. L'actualité récente n'est pas pour le contredire...

Haut de page
Copyright 2025 Cufay. Tous droits réservés.