Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
CANICULE en Vôges
PLI - EAN : 9782357632219
Édition papier
EAN : 9782357632219
Paru le : 11 juin 2025
20,00 €
18,96 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782357632219
- Editeur : PLI
- Date Parution : 11 juin 2025
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 164
- Format : H:220 mm L:144 mm E:13 mm
- Poids : 250gr
-
Résumé :
Un été sans égal...
Dans cette Vôges désertée de ses forces vives, Montcourt n’a plus que son silo à grain et un bar tenu à bout de bras par Rose.
Depuis quelques jours, dès quinze heures une sorte de torpeur envahit la contrée, le thermomètre frisant les 40°c.
Le retour au pays de Laurent Laprelle en Porsche Cayenne va échauffer les esprit et raviver les vieilles rancunes. Les souvenirs remontant dans les mémoires comme le mercure des thermomètres
Il faudra du temps à l’adjudant-chef Moreau et à Anna Huart mandatée par les Assurances Agricoles Réunies pour démêler le vrai du faux dans les dépositions de Maurice Chevallier dit Momo et de Thierry Lepêcheur dont la caravane a tout d’un four à micro-onde.
Tout cela n’empêche pas les sentiments qui, canicule aidant, exacerbent paroles et désirs enfouis.
L’auteur : Après le succès de Sabotage à Cédolles, Julien Oster nous entraîne à nouveau dans son univers qui confronte l’individu à une réalité qui ne fait pas de cadeau au plus démuni de la société...
Extrait :
“Momo se sentait bizarre. Mal foutu. Le café du matin n’était pas bien passé. Il donna un coup de peigne dans ses cheveux grisonnants, essayant sans conviction d’y agencer une raie. Il ajusta la veste de costume. Une veste Cardin des années quatre-vingt. Il avait encore grossi. Et puis, il n’aimait pas les rendez-vous à l’agence bancaire, ça le mettait mal à l’aise. Il relut l’avis de saisie de la ferme, avant de le glisser dans une sacoche en polyester noir, revêtue du logo d’un syndicat agricole. Ainsi ça n’avait pas été assez de lui prendre toutes ses terres, les terres de ses ancêtres, ça n’avait pas été assez de le pousser au déshonneur, pour un agriculteur, de vendre ses bêtes, d’abandonner son métier.”