Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
C'était mieux avant, ou le syndrome du rétroviseur
EAN : 9782828914141
Paru le : 24 avr. 2014
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782828914141
- Réf. éditeur : 578985
- Editeur : Favre
- Date Parution : 24 avr. 2014
- Disponibilite : Manque sans date
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 219
- Format : H:237 mm L:151 mm E:21 mm
- Poids : 333gr
-
Résumé :
"C'était mieux avant", entend-on de plus en plus souvent en ce début de XXIe siècle. Alors que les conditions de vie n'ont jamais été plus favorables qu'aujourd'hui, la nostalgie fait vendre et le passé n'a jamais été aussi à la mode. Mais qu'est-ce qui se cache derrière cette vague sans précédent de nostalgie qui envahit notre quotidien, affectant des domaines aussi divers que l'éducation, l'habillement ou la politique ? Quelle peur de l'avenir traduit-elle ?
" C'était mieux avant ", entend-on de plus en plus souvent en ce début de XXIe siècle. Alors que les conditions de vie n'ont jamais été plus favorables qu'aujourd'hui, la nostalgie fait vendre et le passé n'a jamais été aussi à la mode. Les voitures, appareils ménagers et vêtements qui s'en inspirent fleurissent dans les magasins et le vintage connaît un succès fou. Le retour aux méthodes du " bon vieux temps " fait également débat en politique et dans l'éducation.
Cette nostalgie sans précédent apparaît à une époque de changement, en grande partie lié à l'essor des nouvelles technologies qui ont déjà commencé à modifier notre rapport aux autres et au monde qui nous entoure. Le " c'était mieux avant " traduit les angoisses ressenties face à la disparition d'un monde qu'on a aimé et qui laisse peu à peu la place à une société numérique qui nous fait encore peur.
Patrick Nussbaum et Grégoire Evéquoz prennent du recul pour observer ce phénomène, mieux le comprendre et relativiser. Car tout n'était peut-être pas mieux avant, et tout n'est pas pire maintenant. Alors, qui peut prédire ce que nous réserve le futur ? A trop nous focaliser sur le monde déformé que reflète notre rétroviseur, nous pourrions bien manquer ce qui se passe juste devant nous.