Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
APRES LE DELUGE
EAN : 9782262034368
Paru le : 10 mars 2011
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782262034368
- Réf. éditeur : 473422
- Collection : TEMPUS
- Editeur : Tempus Perrin
- Date Parution : 10 mars 2011
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 193
- Format : 1.40 x 11.00 x 17.80 cm
- Poids : 160gr
-
Résumé :
Un précis de décomposition de la finance mondiale. " L'ancien disciple de Raymond Aron analyse les causes du séisme que nous vivons, décrit le mécanisme des cycles économiques et le salut temporaire trouvé dans des politiques keynésiennes, avant d'esquisser les mutations que le capitalisme mondial va devoir entamer " L'Express.
" L'économie mondiale n'est pas guérie ; elle connaît une simple rémission. La crise n'est nullement achevée ; elle mute. "
Nicolas Baverez
Historien et économiste, Nicolas Baverez a notamment publié La France qui tombe , N ouveau monde, Vieille France et En route vers l'inconnu . Cette nouvelle édition comporte une préface inédite de l'auteur.
" Ce n'est ni le premier ni le dernier livre sur la crise, mais c'est l'un des plus pénétrants sur le sujet, empruntant à l'histoire autant qu'à l'économie. "
Le Monde
" L'ancien disciple de Raymond Aron analyse les causes du séisme que nous vivons - le "Pearl Harbor" de la mondialisation -,décrit le mécanisme des cycles économiques et le salut temporaire trouvé dans des politiques keynésiennes, avant d'esquisser les mutations que le capitalisme mondial va devoir entamer, et dont l'Europe et la France risquent d'être les premières victimes. "
L'Express
" Une réflexion lucide. "
Le Figaro