ANDRE CHARLIER, LE PRIX D'UNE OEUVRE

Ste Madeleine - EAN : 9782372880220
CHARLIER ANDRE
Édition papier

EAN : 9782372880220

Paru le : 13 sept. 2019

25,00 € 23,70 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
  • Benefits Livraison gratuite
    en France sans minimum
    de commande
  • Benefits Manquants maintenus
    en commande
    automatiquement
  • Benefits Un interlocuteur
    unique pour toutes
    vos commandes
  • Benefits Toutes les licences
    numériques du marché
    au tarif éditeur
  • Benefits Assistance téléphonique
    personalisée sur le
    numérique
  • Benefits Service client
    Du Lundi au vendredi
    de 9h à 18h
  • EAN13 : 9782372880220
  • Réf. éditeur : MAD0131
  • Editeur : Ste Madeleine
  • Date Parution : 13 sept. 2019
  • Disponibilite : Disponible
  • Barème de remise : NS
  • Nombre de pages : 572
  • Format : 2.50 x 20.00 x 20.00 cm
  • Poids : 892gr
  • Résumé : Après avoir été blessé et fait prisonnier en Allemagne pendant la première guerre mondiale, André Charlier se tourna finalement vers l'enseignement. Devenu Directeur de l'École des Roches de Maslacq, transférée ensuite à Clères, sa grande oeuvre sera la formation de la jeunesse. Son ami Paul Claudel voit en Charlier, beaucoup plus qu'un éducateur, un maître spirituel : « le maître idéal suivant l'Esprit de Dieu et le coeur chrétien ». Et Monseigneur Henri Brincard résume ainsi cette oeuvre de formation de la jeunesse : « un élan de toute l'âme vers la Lumière ». John Keith, un jeune américain venu étudier pendant quelques mois à Clères, confiait y avoir trouvé « une École simple et non pas prétentieuse », où l'on se « trouve face à face avec Dieu». L'instrument de cette rencontre avec Dieu était André Charlier lui-même, comme Antoine de Lévis Mirepoix l'explique dans la Préface. Mais cette oeuvre exigea d'André Charlier qu'il renonce, après la mort de sa première femme en 1940, à redonner un véritable foyer à ses propres filles, sacrifice douloureux à son coeur de père et sur lequel il revient souvent dans le Journal qu'il écrivit à leur intention : « Vous avez eu [ à Maslacq ] une vie fort agréable en somme, et je pense qu'elle restera pour vous comme un beau souvenir. Pas un vrai foyer sans doute, mais qu'y puis-je ? J'ai dû sacrifier cela à l'École, et ce n'est pas moi qui ai voulu assumer cette charge ». Par ces sacrifices librement consentis, André Charlier fut un « témoin de l'Éternel », comme il se définit lui-même. Son ami Gustave Thibon l'avait compris, qui lui écrivait : « Je pense souvent, très souvent à vous comme à l'un des derniers témoins des choses qui demeurent. » C'est ce témoignage de toute une vie que nous livre cette première biographie d'André Charlier.
Haut de page
Copyright 2025 Cufay. Tous droits réservés.