Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
Ali Cherri. Vingt-quatre fantômes par seconde
Dilecta - EAN : 9782373722307
Édition papier
EAN : 9782373722307
Paru le : 26 avr. 2025
35,00 €
33,18 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782373722307
- Editeur : Dilecta
- Date Parution : 26 avr. 2025
- Disponibilite : Disponible
- Nombre de pages : 60
- Format : H:20 mm L:187 mm E:258 mm
- Poids : 318gr
- Résumé : Leporello publié à l’occasion de l’exposition "Vingt-quatre fantômes par seconde" d’Ali Cherri dans les vitrines de la Bourse de Commerce – Pinault Collection jusqu’au 25 août 2025 Né à Beyrouth (Liban), Ali Cherri vit et travaille entre Beyrouth et Paris. Il appartient à cette génération d’artistes libanais née pendant la guerre civile (1975-1990) dont le travail a été fortement affecté par ce contexte d’instabilité. À travers son travail plastique et vidéo, Ali Cherri opère des glissements temporels entre les mondes antiques et nos sociétés contemporaines, des allers-retours constants entre mythes fondateurs et utopie d’un progrès sans limite. Son oeuvre explore ainsi les liens qui unissent archéologie, récits historiques et patrimoine culturel, et s’attache de fait aux processus de fouilles, de déplacement et de muséification de vestiges, qui sont autant de violences faites à des pratiques culturelles immémorielles et à des sites archéologiques. Pendant l’exposition collective "Corps et âmes", Ali Cherri investit le Passage de la Bourse de Commerce – Pinault Collection. Les vingt-quatre vitrines – dispositif muséal par excellence – qui le constituent rappellent à l’artiste les vingt-quatre images par seconde qui produisent l’illusion du mouvement au cinéma et permettent ainsi de "donner vie" aux œuvres exposées, comme des flashes fantomatiques entre le réel et la fiction, le passé et le présent. Les vitrines présentent des sculptures hybrides mêlant artefacts archéologiques et créations de l’artiste, proposant une réflexion sur les conséquences de leur manipulation (spoliation, trafic, appropriation...). "Les greffes que j’opère dans ma série de sculptures sont une forme de solidarité entre des corps brisés, fragmentés, violentés, qui, en se soudant, créent une communauté", explique l’artiste, qui s’appuie sur le film surréaliste Le Sang d’un poète de Jean Cocteau (1930) comme un fil conducteur, symbole du passage d’un monde à un autre.