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60 JOURS QUI EBRANLERENT L'OCCIDENT - NE
EAN : 9782221132111
Paru le : 25 oct. 2012
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- EAN13 : 9782221132111
- Réf. éditeur : 542773
- Editeur : Bouquins
- Date Parution : 25 oct. 2012
- Disponibilite : Epuisé
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 1029
- Format : 2.90 x 13.40 x 20.00 cm
- Poids : 562gr
- Interdit de retour : Retour interdit
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Résumé :
Il est peu de tragédies comparables à celle qui s'est déroulée sur le sol de la France, entre le 10 mai et le 10 juillet 1940. Soixante jours ont suffi pour anéantir nos armées et balayer nos institutions. " Jamais une grande puissance militaire n'a été écrasée aussi vite et aussi inexorablement, depuis la campagne-éclair de Napoléon contre la Prusse, en 1806. En moins de dix semaines, une des puissances qui dirigeaient le monde fut littéralement balayée de la scène politique ", écrit William L. Langer.
Il n'est pas un Français qui n'ait vécu ce drame au plus profond de lui-même. Aussi ne faut-il pas s'étonner si le souvenir de ces journées hante encore les esprits et si des millions d'individus continuent à se demander : " Comment un tel désastre a-t-il été possible ? Comment toutes ces choses ont-elles pu arriver ? "
Ces questions, leur a-t-on apporté, jusqu'à ce jour, une réponse satisfaisante ? Il faut reconnaître que non. L'ampleur de l'enjeu, la violence des passions, l'enchevêtrement des intérêts, le caractère des protagonistes, l'interdépendance des facteurs politiques et militaires, tout contribuait à faire des journées de mai, juin et juillet 1940 une sorte de no man's land où l'on ne s'aventurait qu'avec précaution.
Pour entourer notre travail de toutes les garanties désirables, nous avons consulté à peu près tous les témoignages français et étrangers ayant trait à ce sujet. Jamais nous n'avons cité une phrase ou un chiffre sans fournir sa référence.
Il nous est apparu que le seul fait de situer les événements à leur vraie place et de leur restituer leur véritable physionomie suffi sait à leur conférer un aspect nouveau, différent des thèses généralement admises.
Jacques Benoist-Méchin