Requiem pour Nietzsche – Le désir d’être est tridimensionnel – Tome III

Sydney Laurent - EAN : 9791032671634

DE SAINT-PARDOUX J.

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Édition papier

EAN : 9791032671634

Paru le : 16 mars 2023

18,90 € 17,91 €

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Détails

EAN13 : 9791032671634
Editeur : Sydney Laurent
Date Parution : 16 mars 2023
Disponibilite : Epuisé
Barème de remise : NS
Nombre de pages : 262
Format : H:150 mm L:22 mm E:12 mm
Poids : 400gr

Résumé

Résumé : Requiem pour Nietzsche est une illustration et un commentaire de la nouvelle anthropologie philosophique, celle de l’hétéronomie de l’être humain, en opposition radicale à l’anthropologie classique fondée sur l’illusion d’un homme souverain et autonome. L’incomplétude, structurellement ternaire, est la condition du désir d’être. L’être humain est institué par l’interdit : énoncé d’un surplomb symbolique -le Nom-du-père-, l’interdit est le fondement du manque et donc du désir. La forclusion du Nom-du-Père, que connait bien la psychanalyse, mène à la psychose sociétale. Son être-au-monde, c’est-à-dire son existence, se constitue de ses représentations du monde, dont la science contemporaine sait qu’elles sont frappées de péremption. Il n’y a pas de Vrai, pas de certitudes, seulement une errance progressive vers un horizon toujours en recul. Il y a enfin l’autre, celui dont l’altérité renvoie l’être humain au réel de son incomplétude. L’autre non pas comme-soi-même, mais celui qui précisément mène le sujet à la conscience du non-même, à la pensée de la différence.
Biographie : Jean de Saint-Pardoux a beaucoup voyagé, pour des raisons professionnelles en tant qu’ingénieur et à titre personnel. Il a pu découvrir en Orient – en Iran, en Chine, dans le Sud-Est asiatique –, et en Afrique, en Égypte notamment, les civilisations de la transmission. Enseignant dans des écoles d’ingénieurs, l’auteur y a découvert les attentes nouvelles des jeunes générations, sceptiques quant à la vision proposée par la culture occidentale d’un homme souverain, se satisfaisant du ici et maintenant. Ces jeunes ingénieurs, exaspérés des excès de l’anthropocentrisme, revendiquent la prise en compte de la globalité du monde du vivant. Ils mettent au coeur de leurs priorités l’autre de demain, l’habitabilité du monde à venir