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Les femmes et le sexe dans la Rome antique
Tallandier - EAN : 9791021001152
Édition papier
EAN : 9791021001152
Paru le : 29 août 2013
23,90 €
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- EAN13 : 9791021001152
- Réf. éditeur : 996425
- Collection : HISTOIRE
- Editeur : Tallandier
- Date Parution : 29 août 2013
- Disponibilite : Epuisé
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 368
- Format : H:215 mm L:145 mm E:27 mm
- Poids : 498gr
- Résumé : Dans une épigramme adressée à sa femme, Martial écrivait : « Je veux bien que tu sois une Lucrèce pendant le jour tout entier, mais c'est une Laïs qu'il me faut la nuit. » Ce vers décrit tout le paradoxe de l'érotisme féminin dans l'Antiquité romaine. Comme une même femme ne pouvait pas être tout à la fois le parangon de la chasteté et une amante dépravée, Virginie Girod montre que les femmes furent classées en catégories et comment leur statut social encadrait leur vie sexuelle en fonction de règles morales établies par les mythes politiques romains et par la religion. La femme mariée, la matrone, se trouvait cantonnée dans un rôle reproducteur dénué de sensualité. C'était aux prostituées (esclaves, affranchies ou plus rarement libres) qu'il incombait de distraire sexuellement les hommes. Alors, le corps féminin érotique et le corps féminin reproducteur étaient-ils deux choses résolument différentes ? Comment les femmes vivaient-elles la sexualité au quotidien ? Quelles pratiques étaient autorisées ou non et pour qui ? Les grandes figures féminines de l'Empire telles que Messaline ou Agrippine la Jeune étaient-elles représentatives de la vie quotidienne de toutes les Romaines ? Finalement, les Romains étaient-ils des débauchés prêts à toutes les transgressions pour leur plaisir ou ont-ils posé les jalons des normes qui ont régi, des siècles durant, la sexualité occidentale ? À l'aide d'une documentation considérable, Virginie Girod répond à ces questions pour apporter une nouvelle réflexion sur la condition de la femme romaine.