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Najah Albukaï - Graver la mémoire
EAN : 9788412527810
Paru le : 13 oct. 2022
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- EAN13 : 9788412527810
- Réf. éditeur : 976612
- Editeur : El Viso
- Date Parution : 13 oct. 2022
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 240
- Format : H:309 mm L:247 mm E:29 mm
- Poids : 1.676kg
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Résumé :
Un pacifique professeur de l'Ecole des Beaux-Arts de Damas se retrouve incarcéré en 2012 par le régime sanglant de Bachar El Assad. Il sera torturé sans cesse jusqu'à sa miraculeuse libération et sa fuite hors de Syrie, en 2015. Il a toujours réussi à dessiner, des milliers de dessins qu'il a pu cacher, exfiltrer. Aujourd'hui son oeuvre poignante témoigne. Tortures, vie quotidienne des prisons, geôliers, détenus. C'est Goya en Syrie.
l'artiste pleure des larmes de sang, mais il rit parfois comme
on a ri jusqu'en enter. Par la ngure de cet homme aux yeu› exorbités dont la langue immense sert de tapis à deux sbires armés et casqués comme pris à leur propre jeu absurde. Il a dû abandonner des milliers d'œuvres dans son pays, mais celles qui nous arrivent nous font imaginer tout le reste. Elles sont aussi importantes que les talismans les plus précieux. Elles sont et resteront gravées dans la mémoire de notre humanité aux côtés des témoignages de Goya, Dix, Picasso, Méndez, Music, Käthe Kollwitz, Taslitzky ou Horst Rosenthal. [...]
Nous sommes de la foule humaine de Najah Albukaï, enrôlés dans son armée des ombres qui veille.
Laurence Bertrand Dorléac artiste pleure des larmes de sang, mais il rit parfois comme
on a ri jusqu'en enter. Par la ngure de cet homme aux yeu› exorbités dont la langue immense sert de tapis à deux sbires armés et casqués comme pris à leur propre jeu absurde. Il a dû abandonner des milliers d'œuvres dans son pays, mais celles qui nous arrivent nous font imaginer tout le reste. Elles sont aussi importantes que les talismans les plus précieux. Elles sont et resteront gravées dans la mémoire de notre humanité aux côtés des témoignages de Goya, Dix, Picasso, Méndez, Music, Käthe Kollwitz, Taslitzky ou Horst Rosenthal. [...]
Nous sommes de la foule humaine de Najah Albukaï, enrôlés dans son armée des ombres qui veille.
Laurence Bertrand Dorléac