Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
Stratégies paysannes aux risques climatiques à Toucountouna
Univ Europeenne - EAN : 9786139527571
Édition papier
EAN : 9786139527571
Paru le : 25 janv. 2022
54,90 €
52,04 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9786139527571
- Réf. éditeur : 4772948
- Editeur : Univ Europeenne
- Date Parution : 25 janv. 2022
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 104
- Poids : 166gr
- Interdit de retour : Retour interdit
- Résumé : Les risques climatiques se font de plus en plus remarqués dans la commune de Toucountouna et constituent une contrainte au bon déroulement des activités agricoles. La présente étude vise à étudier les perceptions paysannes des risques climatiques de même que les différentes modes de gestion mise en oeuvre en réponse aux effets desdits risques.La démarche méthodologique utilisée dans le cadre de cette recherche est fondée essentiellement sur trois points à savoir : la recherche documentaire, les investigations socio anthropologiques et l'analyse des données climatologiques des stations climatologiques de Natitingou et de Tanguiéta sur la période 1985-2016.Les résultats obtenus montrent que les inondations, les sécheresses et la fréquence des vents violents sont perçues par les paysans comme des risques climatiques. Ainsi ,pour s'adapter les paysans de la commune de Toucountouna développent plusieurs stratégies de gestion. Parmi ces stratégies figurent : les nouvelles techniques culturales (70 %), l'amélioration des techniques de conservation (74 %), des nouveaux moyens de protection des cultures, etc.