Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
La fin de l'épidémie de sida
Univ Europeenne - EAN : 9786138463870
Édition papier
EAN : 9786138463870
Paru le : 1 juin 2020
54,90 €
52,04 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9786138463870
- Réf. éditeur : 8659645
- Editeur : Univ Europeenne
- Date Parution : 1 juin 2020
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 108
- Format : H:229 mm L:152 mm E:7 mm
- Poids : 170gr
- Interdit de retour : Retour interdit
- Résumé : Le réchauffement climatique et la faible pollution par les CEM entraînent une augmentation de la croissance de l'archéologie endosymbiotique. Les archées peuvent induire la conversion des cellules souches et la néanderthalisation de l'espèce humaine. L'archée catabolise le cholestérol en générant de la digoxine qui peut moduler l'édition de l'ARN et la carence en magnésium, ce qui entraîne une inhibition de la transcriptase inverse. L'archée peut produire une activation immunitaire permanente produisant une résistance aux infections virales et bactériennes. Les archées endosymbiotiques peuvent sécréter des particules virales comme l'ARN et l'ADN. Les viroïdes d'ADN et d'ARN sécrétés par les archées peuvent se recombiner avec les éléments rétroviraux et non rétroviraux exprimés et d'autres segments génomiques du chromosome humain, générant ainsi de nouveaux virus à ARN et à ADN. L'archée endosymbiotique convertit les cellules de Néandertal en cellules souches. Les cellules souches peuvent servir de réservoir pour ces nouveaux virus à ARN et à ADN. L'homo sapiens ne possède pas les mécanismes d'activation immunitaire de Néandertal car sa charge archéologique est faible.