Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
THE END OF THE FUCKING WORLD - ANCIENNE EDITION
Employe Du Moi - EAN : 9782930360591
Édition papier
EAN : 9782930360591
Paru le : 21 oct. 2013
14,50 €
13,74 €
Bientôt disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Manquant provisoirement
Notre engagement qualité
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782930360591
- Editeur : Employe Du Moi
- Date Parution : 21 oct. 2013
- Disponibilite : Provisoirement non disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 168
- Format : 1.90 x 15.00 x 18.00 cm
- Poids : 300gr
- Interdit de retour : Retour interdit
- Résumé : Alyssa aime James, James pense que, peut-être, il aime Alyssa. Grandir c’est difficile, spécialement lorsque qu’on est incompris des adultes et qu’on a l’impression d’être méprisé par le monde entier. Lassés de cette vie déprimante, les deux personnages de The End of the Fucking World entament la fin de leur adolescence par une longue fugue où ils vont se retrouver confrontés à des situations extrêmement critiques. Menacés par un dangereux gourou, poursuivis par la police, ils vont vivre un temps, la liberté et l’insouciance pour se voir brutalement rattrapés par une précarité d’une rare intensité. Ce que ne sait pas Alyssa, c’est que James est un jeune sociopathe qui a passé son enfance à tuer toutes sortes d’animaux, grands ou petits pour le plaisir. Maintenant ses pulsions meurtrières se font de plus en plus présentes et difficiles à cacher. C’est d’ailleurs, à cause de cette déviance non contrôlée, combinée à une mauvaise rencontre qui va leur attirer des ennuis. L’originalité de The End of the Fucking World réside dans le découpage et la composition des planches de Charles Forsman. Pour appuyer son histoire, l’ancrer dans des perceptions sensibles de la vie et pour attiser l’empathie, il va, à la manière d’un réalisateur de cinéma, jouer sur son esthétique et son écriture. L’histoire n’est d’ailleurs pas sans rappeler certains grands road-movies américains : Badlands, True Romance ou encore Sailor & Lula. La narration à la première personne se construit autour d’une alternance entre le point de vue des deux protagonistes, qui changent d’un chapitre à l’autre, permettant ainsi aux lecteurs d’apprécier l’évolution de leurs sentiments. On retrouve aussi une économie certaine dans l’élaboration des dialogues et des décors qui se retrouvent réduits à leur strict minimum, évitant ainsi toute description inutile afin de ne pas altérer l’évidente fluidité de la lecture. Le style graphique, très épuré, joue sur cette fluidité et cette ambiance de malaise en installant une tension évidente entre naïveté et brutalité. La violence physique comme psychologique s’immiscent progressivement, par bribes dans le récit, au fur et à mesure que les personnages dévoilent leur intimité, leur faiblesse et leur déviance. Initialement prépublié sous la forme de petits fanzines entre septembre 2011 et févier 2013, The End of the Fucking World a connu un succès spectaculaire pour de la micro édition généralement destiné à une communauté de lecteurs restreint. Fort de cette belle première expérience, l’éditeur américain de référence, Fantagraphics, a décidé de les compiler en un seul volume. La version française, traduite par l’employé du Moi, sortira en octobre au même moment que sa grande sœur d’outre-Atlantique. Pour parfaire le bouillonnement d’intérêts porté à cette histoire, Netflix a adapté ce récit en mini-série.