Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
LETTRES DE LA GRANDE BLASKET
EAN : 9782918135234
Paru le : 17 févr. 2011
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782918135234
- Réf. éditeur : 494428
- Editeur : Edts Dialogues
- Date Parution : 17 févr. 2011
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 180
- Format : 1.50 x 13.60 x 21.00 cm
- Poids : 230gr
-
Résumé :
Véritable petit chef-d'oeuvre inédit en français, les Lettres de la Grande Blasket décrivent les vingt dernières années de la vie dans l'île, dictée par les saisons, les tempêtes et les privations.
La Grande Blasket : au sud-ouest de l'Irlande, un gros rocher désolé où quelques familles vivent de la pêche, de la récolte de la pomme de terre et de maigres céréales, et se chauffent à la tourbe, quand les intempéries permettent qu'elle sèche... Pendant vingt ans, de 1931 à 1951, Elisabeth O'Sullivan confie à George Chambers, un lettré anglais, des bribes de son quotidien sur l'île, évidemment banal pour la jeune femme, tout à fait singulier pour n'importe quel autre lecteur. Véritable petit chef-d'oeuvre inédit en français, les Lettres de la Grande Blasket décrivent les vingt dernières années de la vie dans l'île, dictée par les saisons, les tempêtes et les privations. Hervé Jaouen s'est attaché à conserver toute la saveur et les intonations de l'anglais maladroit d'Eibhlís Ní Shúilleabháin, influencé par l'irlandais. À la lecture, la ponctuation surprend, les tournures de la jeune femme font sourire. Mais nous voici, sans y prendre garde, sous le charme de ses confidences, et avec elle le coeur en berne, face au déclin irrémédiable d'une île qu'il faudra se résoudre à quitter.