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JACQUES BARON, L'ENFANT PERDU DU SURREALISME - NOUVELLE REVUE NANTAISE N 5
Dilecta - EAN : 9782916275581
Édition papier
EAN : 9782916275581
Paru le : 18 nov. 2009
23,00 €
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- EAN13 : 9782916275581
- Editeur : Dilecta
- Date Parution : 18 nov. 2009
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 240
- Format : 2.10 x 19.10 x 24.00 cm
- Poids : 534gr
- Interdit de retour : Retour interdit
- Résumé : Jacques Baron a traversé, entre les deux guerres, toute l’avant-garde littéraire et politique. Ce nouveau numéro de la Nouvelle Revue nantaise permet de découvrir l’œuvre trop méconnue de ce « gosse de Bretagne égaré à Paris » : vers, contes, articles, correspondances... Certains de ses poèmes d’extrême jeunesse ont été rédigés sous l’égide de Dada, d’autres empruntent à la veine surréaliste. À la lecture de cet ouvrage, on croise les noms de Louis Aragon, André Breton, René Crevel, Raymond Queneau et Michel Leiris – l’ami fidèle – mais aussi celui d’Henry Miller. Tous furent liés à ce « lycéen ingénu » qui, « sous l’ombre portée de Rimbaud », a fait acte de surréalisme absolu. À ses côtés – dans les pas de Jacques Vaché – on parcourt encore les rues de Nantes. On y respire l’esprit du large et les embruns des océans sur lesquels le jeune poète vogua comme pilotin, au début des années 1920. Une fois la rupture avec Breton consommée, il participe à la création de La Revue marxiste, puis s’engage auprès de Boris Souvarine dans l’aventure de La Critique sociale. Avec conviction, il en assure le secrétariat de rédaction. Jacques Baron incarne le type de ces jeunes révolutionnaires de l’esprit et du cœur. La description et l’analyse de son parcours permettent de constater que ces années prétendues « folles », lourdes à la fois d’espoirs et de menaces, présentent une forte ressemblance avec l’époque contemporaine.