EDOUARD DAVID, POETE PICARD

Vague Verte - EAN : 9782913924918
GARNIER PIERRE
Édition papier

EAN : 9782913924918

Paru le : 25 nov. 2006

10,00 € 9,48 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
  • Benefits Livraison gratuite
    en France sans minimum
    de commande
  • Benefits Manquants maintenus
    en commande
    automatiquement
  • Benefits Un interlocuteur
    unique pour toutes
    vos commandes
  • Benefits Toutes les licences
    numériques du marché
    au tarif éditeur
  • Benefits Assistance téléphonique
    personalisée sur le
    numérique
  • Benefits Service client
    Du Lundi au vendredi
    de 9h à 18h
  • EAN13 : 9782913924918
  • Editeur : Vague Verte
  • Date Parution : 25 nov. 2006
  • Disponibilite : Disponible
  • Barème de remise : NS
  • Nombre de pages : 150
  • Format : 0.00 x 14.00 x 21.00 cm
  • Poids : 220gr
  • Interdit de retour : Retour interdit
  • Résumé : Tchot Doère, c’est un nom qui émeut les vieux Amiénois et autres francs Picards ; ceux-là ont tous en tête quelque vers, quelque savoureuse expression retenue de Chés Lazards, ou de Marie-Chrétienne, quelque truculente réplique de Lafleur dans El bataille ed’ Querrieu.
    La dimension, la puissance poétique de son œuvre en font bien plus qu’un poète local et justifient qu’un large public le connaisse et l’apprécie.

    Poète lui-même, mais aussi essayiste et critique, Pierre Garnier a pénétré dans cette œuvre avec sagacité et finesse. Et avec, au surplus, cette sorte de complicité, de connivence de l’Amiénois qui a trépigné, enfant, devant “chés fredeinnes ed Lafleur” et s’est laissé “prendre” au sobre drame de “Ch’pardon”.
    A sa suite, nous entrons – ou rentrons – dans un microcosme dont les survivances, humaines et même partielles, sont à peu près nulles, mais que la poésie, par la sensibilité et le verbe d’Edouard David, peut – et peut seule – empêcher de disparaître totalement. Bernard Bocquillon (extrait de l’édition de 1970).

    OEuvre vaste, souvent haute, une kermesse, une noce, des fêtes, un deuil, une tripée, des cortèges, tout un monde grouillant, une Cour des Miracles, les hortillons, non pas tant l’expression d’un homme seul que du quartier Saint-Leu, le vieux cœur.
    Edouard David a vécu au moment où ce monde moribond recueillait une fois encore son passé ; il a eu la chance – au bord de notre monde mécanique – de vivre dans une micro-communauté qui, dans sa misère, battait comme un cœur ; il a été le cerveau et la langue de ce cœur, reformant ainsi un corps complet qui passe à nouveau aujourd’hui parmi nous. - Pierre Garnier

    Réédition d’une étude de Pierre Garnier parue en 1970 et épuisée.
Haut de page
Copyright 2025 Cufay. Tous droits réservés.