Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
LETTRES D'UN CERAMISTE - A DANIEL DE MONTMOLLIN, RENE BEN-LISA ET RENE FUNK
EAN : 9782908988758
Édition papier
EAN : 9782908988758
Paru le : 1 août 2013
18,50 €
17,54 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782908988758
- Collection : LIVRES DE PENSE
- Date Parution : 1 août 2013
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 184
- Format : 1.50 x 14.50 x 22.00 cm
- Poids : 400gr
- Résumé : La correspondance de Philippe Lambercy (1919-2006) avec ses amis, pairs et collègues couvre une époque charnière où le renouveau de cet art du feu, la céramique, est en pleine effervescence. Ces échanges sont d'autant plus précieux que les conditions de cet art ont totalement changé avec le XXIe siècle. Philippe Lambercy a entretenu une correspondance suivie avec trois destinataires. La principale est le fruit d'une longue amitié avec Daniel de Montmollin qui a débuté en 1953 où chacun des deux futurs céramistes n'avait un vrai atelier personnel. Ces années du départ étaient empreintes d'ignorance et du besoin d'apprendre afin de retrouver le sens et les racines profondes du métier. Au travers de ses lettres, Philippe Lambercy manifeste son indépendance d'esprit et son désir de renouveau dans le cadre du métier de céramiste. Responsable de la section céramique à l'Ecole des arts décoratifs de Genève, il crée au cours de son enseignement un concept de formation pour le céramiste indépendant. Soucieux de contribuer à la reconnaissance des céramistes et de promouvoir leur collaboration, il est membre fondateur de la Communauté de travail des céramistes suisses (CTCS) et du Centre genevois des artisans. Il s'est engagé avec une authenticité totale, dans la recherche d'une plastique propre à la céramique, assumant ses choix artistiques, même s'il est assailli par partage dans ses lettres avec René Ben-Lisa, installé en Provence, jusqu'en 1987. Sa correspondance avec son collègue enseignant, sculpteur et photographe rené Funk, motivée par l’éloignement de cet ami proche parti s'installer au Canada, se renforce à partir des années 2000 et jusqu'à sa mort.