Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
LE DELINQUANT IDEAL
Liber Canada - EAN : 9782895782315
Édition papier
EAN : 9782895782315
Paru le : 19 mai 2010
25,00 €
23,70 €
Epuisé
Arrêt définitif de commercialisation
Notre engagement qualité
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782895782315
- Réf. éditeur : 978289578231
- Editeur : Liber Canada
- Date Parution : 19 mai 2010
- Disponibilite : Epuisé
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 268
- Format : 1.70 x 15.30 x 22.80 cm
- Poids : 410gr
- Interdit de retour : Retour interdit
- Résumé : Edwin Sutherland a inventé la fiction du délinquant idéal et caractérisé son comportement par la performance (les avantages qu'il retire de ses délits), la discipline (l'endurance face à l'épreuve pénale) et la solidarité à l'endroit des compagnons de route. On s'étonne aujourd'hui que cette fiction ait suscité l'engouement ? assez éphémère ? des sociologues et qu'elle ait même influé, au tournant des années 1950, sur la criminologie elle-même. Les fictions théoriques indisposent le sens commun parce qu'il est facile de trouver de nombreux cas qui les contredisent. Celle de Sutherland heurte aussi, par sa complaisance cynique, le sens moral. Mais son influence s'est rapidement estompée à la fin des années I960. La criminologie contemporaine examine les délinquants à travers les réactions défavorables qu'ils suscitent. La sociologie criminelle américaine des années 1940 et 1950 examinait la société à travers le regard que les délinquants portaient sur les réactions favorables à leurs comportements. La fiction du délinquant idéal était-elle inutile ? La criminologie a-t-elle gagné en maturité scientifique ou en probité intellectuelle en s'en débarrassant ? Je propose dans ce livre de répondre à ces questions.