Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
ARTISTE ET MODELE
Unes - EAN : 9782877041997
Édition papier
EAN : 9782877041997
Paru le : 11 janv. 2019
16,00 €
15,17 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782877041997
- Editeur : Unes
- Date Parution : 11 janv. 2019
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 88
- Format : 1.00 x 15.20 x 21.10 cm
- Poids : 170gr
- Interdit de retour : Retour interdit
- Résumé : De la peinture et du réel, lequel de ces deux mondes est le plus plat ? Et quelle est notre place, dans cet aller et retour entre le corps des images et notre propre corps, dans cet intervalle ? Carol Snow déplie les épaisseurs de notre présence aux choses, dans les impressions fugaces, les bruits du matin, les mouvements et l’attente. Nous sommes entourés d’objets immobiles. Et de tableaux, on croise Matisse, Picasso, Cézanne, Giotto, dans cette « mémoire récurrente » de l’art. Les douleurs et les destinées se mêlent, qui souffre ? Est-ce notre souffrance dessinée sur la toile, ou celle des personnages muets ? Est-ce notre histoire ou la leur ? Artiste et modèle sonde la réciprocité, la coïncidence du réel et de la peinture, qui projette ses formes et ses couleurs sur notre vision du réel. Nous sommes des spectres dans les rues, parmi nos semblables, aux carrefours, à la piscine municipale. Alors que les tableaux se reflètent sur les murs du jardin, en touches de lumière. On remonte et on déploie le temps à l’intérieur de l’art, on suspend les images comme du linge à sécher dehors. On appréhende la dérive de la réalité, au fond de nos corps, de nos corps exprimés des autres. La mort n’est pas dans la peinture, mais dans les mauvaises herbes en décomposition dans le jardin, et « ce qui frissonne, c’est notre reflet », dans la solitude des regards.