Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
DEFENSE ET ILLUSTRATION DE LA FEERIE
EAN : 9782848762074
Paru le : 3 mai 2012
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782848762074
- Réf. éditeur : 833413
- Collection : DOCUMENT
- Editeur : REY
- Date Parution : 3 mai 2012
- Disponibilite : Manque sans date
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 192
- Format : 1.50 x 14.00 x 20.50 cm
- Poids : 244gr
-
Résumé :
La littérature fantastique, qu'Irène Fernandez préfère appeler " féerique ", est aujourd'hui dans une situation doublement paradoxale. Devenue florissante, avec Tolkien, au moment même où les observateurs de la modernité littéraire annonçaient la mort du conte, elle rencontre le mépris ou l'indifférence du public cultivé et de la critique littéraire.
Irène Fernandez montre ici que ces réactions ne sont aucunement justifiées. Elle s'appuie principalement mais non exclusivement sur les quatre ouvres les plus célèbres dans ce domaine - Le Seigneur des anneaux, Les Chroniques de Narnia, Harry Potter, Twilight -, et soutient que le genre littéraire dont elles relèvent n'est pas un genre secondaire ou réservé à un jeune public, comme on peut s'en convaincre en allant de L'Odyssée à Faust (y compris son avatar moderne, le Dr Faustus).
Ces sagas sont des ouvres littéraires à part entière, qu'il faut apprécier ou critiquer comme telles. La littérature féerique, au-delà des qualités narratives qu'elle partage avec le roman, permet de traiter de thèmes majeurs où le roman est moins à l'aise, comme la responsabilité dans le choix du bien ou du mal, ou le sens (s'il y en a un) de la mort. En défamiliarisant le monde, elle invite à poser des questions sur la nature de la réalité. Enfin la " happy end " qui la caractérise traditionnellement, loin d'être réductrice ou naïve, élargit l'horizon des possibles.
Une littérature féerique en quête de sens, mais surtout un immense plaisir de lecture !
Ancienne élève de l'École normale supérieure, Irène Fernandez est agrégée de philosophie et docteur en lettres. Elle a publié : Et si on parlait du Seigneur des anneaux (Presses de la Renaissance, 2002), Mythe, raison ardente. Imagination et réalité selon C. S. Lewis (Ad Solem, 2005), Dieu avec esprit (Philippe Rey, 2005), et Au commencement était la raison (Philippe Rey, 2008).