Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
LE SORTILEGE DE LA FEMME-AUTOMATE
EAN : 9782848410500
Paru le : 17 mai 2019
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782848410500
- Editeur : Tanibis
- Date Parution : 17 mai 2019
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 88
- Format : 1.00 x 23.20 x 31.10 cm
- Poids : 540gr
- Interdit de retour : Retour interdit
-
Résumé :
Les monstres fragiles et les rescapés des nuits rouges se sont trouvés un sanctuaire aux abords de la ville… Après Les monstres aux pieds d’argile et Les nuits rouges du théâtre d’épouvante, Alexandre Kha propose une nouvelle plongée dans son bestiaire fantastique, prenant cette fois-ci comme cadre une « foire aux freaks ». Olympia, femme-automate inventée par un certain Zacharius, en est une des attractions principales. Arthur Grisham, le bibliothécaire adepte du bizarre, y entraîne son ami Antoine. Ce dernier tentera de percer les secrets de l’automate au risque de tomber amoureux…
Olympia est une version féminisée du fameux automate joueur d’échecs du baron von Kempelen qui fascina l’Europe aux XVIIIe et XIXe siècles. Cette « Ève future » continue ici ses tournées loin des cours luxueuses, au milieu des losers, junkies, savants fous et autres marginaux de tout poil. Entre les représentations, elle approfondit son libre-arbitre et son exploration de l’humanité, interrogeant les sentiments et l’identité du pauvre Antoine.
Entrecoupant le récit principal d’intermèdes en ombres chinoises sur le passé d’Olympia, ce conte nous fait naviguer dans un jeu de citations luxuriant, éclectique comme un cabinet de curiosités, le petit monde d’Alexandre Kha faisant aussi bien écho à la pop culture (on croise le duo Iggy Pop-David Bowie) qu’à la littérature fantastique du XIXe d’E.T.A. Hoffmann ou de Jules Verne, en passant par la science-fiction de Philip K. Dick.