Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
LE COQ DE MADAME CLEOPHAS
Circe - EAN : 9782842423490
Édition papier
EAN : 9782842423490
Paru le : 19 sept. 2013
10,00 €
9,48 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782842423490
- Réf. éditeur : 84242.3490
- Editeur : Circe
- Date Parution : 19 sept. 2013
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 120
- Format : 1.00 x 12.00 x 20.00 cm
- Poids : 130gr
-
Résumé :
Pistoli, fin gourmet, Dom Juan et noceur invétéré d’une région de Hongrie qui ressemble parfois au Grand Ouest, revient après une longue absence ; dans un précédent roman, Krúdy nous a décrit son enterrement .
Ainsi revenu de l’au-delà, Pistoli se barricade dans sa demeure, comme pour se venger des femmes, des tavernes et du monde qui l’ont déçu. Son ancien amour, Rizujlett, ne parvient à lui soutirer autre chose que l’expression d’une profonde lassitude et d’une certaine mysogynie. Seuls les cris éplorés de Madame Cleophas qui s’est fait dérober son coq par les Tsiganes, lui font reprendre son cheval pour un périple qui sonne comme une rencontre avec son ancienne vie.
C’est alors, dans une auberge du bord de route que commence dans une atmosphère de brumes et de fumée, une autre histoire où cette-fois-ci une femme prend la parole pour raconter sa propre vie, dans un magistral contre-point où les hommes se succèdent, dans un récit que Pistoli doit subir avant d’obtenir enfin ce pour quoi il est venu.
Krúdy met en scène le personnage du séducteur vieilli avec une souriante nostalgie. Le parcours initiatique de son héros et sa rencontre avec une femme mystérieuse se déroulent dans un univers dont Krúdy pressentait la fin, lui qui écrivait ce récit durant la Première Guerre : celui des grandes routes, des auberges, des galantes, de l’aristocratie de province et des Tsiganes qu’il fait resurgir dans une atmosphère onirique, sans quitter le chemin d’une prose tantôt lyrique par la magie de ses descriptions, tantôt savoureuse et pleine d’humour. On y reconnaît la figure d’un très grand écrivain.