Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
MACAU
EAN : 9782757870839
Paru le : 1 mars 2018
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782757870839
- Réf. éditeur : POI172559
- Collection : SIGNATURES
- Editeur : Points
- Date Parution : 1 mars 2018
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 128
- Format : 1.20 x 12.10 x 17.80 cm
- Poids : 130gr
-
Résumé :
« Cela me plaisait de devoir être tué en Chine, sur une jonque à l’ancrage, devant un photogénique vieillard, dans une atmosphère chinoise saturée de puanteurs, de fumée de poisson frit, de tabac, de pétrole, d’eau sale. Après tout, j’étais venu pour ça, pour en finir, pour être ailleurs et en finir. »
Près de quinze ans après Le Port intérieur , Antoine Volodine retrouve ses paysages familiers : les ruelles obscures de Macau, l’humidité sordide, la nuit où monologuent des personnages ambigus et sublimes. Il ajoute ici un ouvrage à la vaste construction romanesque qu’il a entreprise et qui compte actuellement plus de trente titres. Il est notamment l’auteur de Des anges mineurs (prix Wepler et prix du Livre Inter) et de Terminus radieux (prix Médicis).
« Nul besoin de connaître l'œuvre d'Antoine Volodine pour apprécier ce livre à la beauté saisissante. Sa poésie se donne à qui accepte d'entrer dans le jeu. »
Michel Abescat, Télérama
« Promu par un hasard biographique à devenir un pirate de la mer de Chine, Antoine Volodine publie aujourd'hui un livre d'une limpidité et d'une perfection toutes chinoises, qui présage à sa manière de ce que pourrait être une littérature libérée des pesanteurs du roman. »
Jean-Didier Wagneur, Libération