De l’accueil à l’éveil – un chemin de tendresse

Honore Editions - EAN : 9782407016143
MERIGOT DOMINIQUE
Édition papier

EAN : 9782407016143

Paru le : 16 mars 2023

18,90 € 17,91 €
Epuisé
Arrêt définitif de commercialisation
Notre engagement qualité
  • Benefits Livraison gratuite
    en France sans minimum
    de commande
  • Benefits Manquants maintenus
    en commande
    automatiquement
  • Benefits Un interlocuteur
    unique pour toutes
    vos commandes
  • Benefits Toutes les licences
    numériques du marché
    au tarif éditeur
  • Benefits Assistance téléphonique
    personalisée sur le
    numérique
  • Benefits Service client
    Du Lundi au vendredi
    de 9h à 18h
  • EAN13 : 9782407016143
  • Editeur : Honore Editions
  • Date Parution : 16 mars 2023
  • Disponibilite : Epuisé
  • Barème de remise : NS
  • Nombre de pages : 236
  • Format : H:220 mm L:150 mm E:140 mm
  • Poids : 215gr
  • Résumé : Enraciné dans les Védas, le concept de soi apparaît souvent comme une notion floue. On pressent pourtant aujourd’hui son importance dans la compréhension des phénomènes de conscience. L’auteur, psychologue de l’enfant et de sa famille, présente ici quarante ans de recherches sur la structure de l’être chez l’enfant, de sa conception à l’âge de sept mois, âge approximatif auquel apparaît le moi-je qui va structurer son être au monde d’une façon tout à fait nouvelle, à travers l’invention de l’espace-temps, le langage, la pensée, l’imaginaire, la relation objectale, la mémoire digitale, l’inconscient, les rêves … Ce que l’on nomme couramment l’activité mentale ou « le mental. »

    Cette structure émergente, le moi-je, vient occulter, à la manière du voile que décrivent les Traditions, l’ontos précédent qui n’est autre que le soi, dont les caractéristiques sont la vacuité d’objet, la sensation heureuse, l’émotion paisible, le ressenti de bien-être, d’ « amour » sans objet que permet la dépendance à la Mère. L’ « expulsion » du bébé lors de la naissance et l’impermanence de la sécurité qu’il ressent peu à peu vont le conduire à inventer ce monde objectal du moi-je.

    L’auteur fait l’hypothèse qu’une mémoire émotionnelle a engrammé ces vécus et nous éveille un jour pour ré-enraciner le logiciel du moi dans ces soubassements heureux de l’être. Sans disqualifier l’outil prodigieux du moi-je, nous sommes ainsi invités à apaiser le mental qui s’agite, à relativiser la nécessité du faire, à accueillir dans le silence le soi qui nous fonde. Méditer a pour étymologie médiquer.

    À partir de sa longue expérience, l’auteur présente alors une « danse du soi » en quatre mouvements : S’accueillir, s’enraciner, s’ouvrir, s’abandonner. Il développe l’intérêt de micro-méditations permettant de « dés-adhérer » peu à peu à l’agitation commune dans le monde qui nous occupe. Restaurer ainsi la paix du soi.

    Il nous invite alors à pressentir ce que peut être l’éveil, une attitude nouvelle dans notre vie quotidienne, parfois ponctuée de moments de « grâce » évoquant l’expérience du samadhi. Cette attitude pourrait se nommer mahayana, parfois traduit par la grande attitude.
  • Biographie : Dominique Mérigot a effectué une carrière de psychologue clinicien en protection de l’enfance, et fut formateur de thérapeutes familiaux en France et en Nouvelle-Calédonie, fondateur de deux structures d’aide à la famille (consultation et hébergement parents-enfants), cofondateur d’une unité de thérapie familiale et d’une structure de traitement des violences conjugales à Nouméa. Il est aussi l’auteur de deux ouvrages professionnels qui rendent compte des expériences. Parallèlement, il a mené pendant plus de quarante ans une recherche d’ontologue s’appuyant sur la pratique puis l’enseignement du tai chan et de la méditation. Après deux essais poétiques, « Le serviteur » et « Le sourire de l’ermite », il présente dans « De l’accueil de soi à l’éveil, un chemin de tendresse », son parcours de marcheur vers l’éveil qui tente de répondre, enraciné dans les Védas et les propos du Bouddha, aux questions fondamentales sur l’être humain : qui suis-je ? et d’où vient la souffrance ? reprises par Ramana Maharshi ou plus près de nous Jean Klein. Une réponse occidentale s’appuyant sur l’expérience intime de soi, que vient corroborer l’observation du développement du jeune enfant et les recherches actuelles des neurosciences sur la conscience. Le discours est simple, ponctué de poésie et d’humour. Il se propose de résonner avec l’expérience intime du lecteur curieux de ce qu’il est et intéressé par la paix, le bonheur, l’amour que l’auteur a expérimentés comme constitutifs de l’être.
Haut de page
Copyright 2025 Cufay. Tous droits réservés.