Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
OH LA LA !
Bergame - EAN : 9782372861403
Édition papier
EAN : 9782372861403
Paru le : 4 avr. 2018
21,40 €
20,28 €
Epuisé
Arrêt définitif de commercialisation
Notre engagement qualité
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782372861403
- Réf. éditeur : 3645563
- Editeur : Bergame
- Date Parution : 4 avr. 2018
- Disponibilite : Epuisé
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 278
- Format : 1.50 x 15.60 x 23.40 cm
- Poids : 395gr
- Interdit de retour : Retour interdit
- Résumé : Les inimitiés entre Anglais et Irlandais font encore de la fumée en Angleterre et en Irlande. Les frottements entre Turcs et Arméniens et entre Turcs et Kurdes dégagent toujours des effluves de rébellion en Turquie. Les désaveux et les haines entraînent Arabes et Juifs à s’entre-égorger pour la possession du sol depuis plus de soixante-dix ans en une guerre dont personne ne voit encore le bout. Les Corses sont français depuis le dix-huitième siècle et la Corse a donné à la France deux empereurs, un chanteur prolifique et le théâtre de l’une des plus belles nouvelles jamais écrites. Pourtant, les Corses sont traités par certains de « Français non de souche ». Longtemps avant les Corses, les Juifs ont fait partie du paysage français dès le premier siècle judéo-chrétien et ils ont été français avant les Mérovingiens, les Capétiens, la Franche-Comté, la Bourgogne et la Normandie. Pourtant, les Juifs sont jugés par certains de « Français greffés », de « Français additionnels » ou de « Français surajoutés ». Lorsque les Italiens avaient commencé à immigrer en grand nombre en France à la recherche de jours meilleurs, il ne fut pas bon s’appeler Brazi, Barzini, Mancini, Flatini, Giacomo ou tout autre nom à consonance italienne sur les bords de Seine et de Loire pendant des décennies. Après les Italiens, ou en même temps qu’eux, ce fut au tour des Russes blancs, des Ukrainiens, des Polonais, des Bulgares, des Roumains, des Hongrois et des Espagnols d’être mis à l’index. Vint ensuite le tour des Sénégalais, des Maliens, des Portugais, des Maghrébins, des Chinois et de tous les autres. Tous ces autres « différents » venus chercher des jours meilleurs en France. Comme il est écrit dans le présent ouvrage, le racisme est d’abord et surtout un problème économique.