LA FILLE DU CONDAMNE A MORT

Rumeur Libre - EAN : 9782355773686
FERNANDEZ CARINE
Édition papier

EAN : 9782355773686

Paru le : 18 juil. 2025

16,00 € 15,17 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
  • Benefits Livraison gratuite
    en France sans minimum
    de commande
  • Benefits Manquants maintenus
    en commande
    automatiquement
  • Benefits Un interlocuteur
    unique pour toutes
    vos commandes
  • Benefits Toutes les licences
    numériques du marché
    au tarif éditeur
  • Benefits Assistance téléphonique
    personalisée sur le
    numérique
  • Benefits Service client
    Du Lundi au vendredi
    de 9h à 18h
  • EAN13 : 9782355773686
  • Collection : NOCES
  • Editeur : Rumeur Libre
  • Date Parution : 18 juil. 2025
  • Disponibilite : Disponible
  • Barème de remise : NS
  • Nombre de pages : 120
  • Format : 0.90 x 14.00 x 20.50 cm
  • Poids : 156gr
  • Résumé : La fille du condamné à mort, un titre à prendre à la lettre. C’est du versant descendant de sa vie que Carine Fernandez se penche sur ce qu’elle avait toujours rejeté avec l’intransigeance de la jeunesse : la relation au père, aux ancêtres et à la mort. Longtemps après sa disparition, elle découvre la vérité sur ce père, le républicain espagnol exilé ; figure du commandeur qui l’avait poussée à la fugue. Lui parvient ce document terrible : le jugement du tribunal militaire en 1939.La sentence de mort à vingt ans. Il s’évadera, il vivra, il aura une fille qui apprendra trop tard qu’elle est la fille du condamné à mort. Elle écrira des poèmes, comme il en écrivit dans sa cellule, en attendant l’exécution. Elle a reçu ce legs : la poésie et la mort.La poésie est transmission, comme la révolte et la tragédie, peut-être passe-t-elle aussi par le sang. La mémoire des ancêtres, qui continuent de vivre en nous, qui regardent avec nos yeux la lumière d’un monde qui s’éteindra si on ne l’écrit pas. Ce recueil comme le sang qui pulse d’une génération à l’autre, force génétique du poème.
  • Biographie : Née dans la région lyonnaise, Carine Fernandez est fille d’un réfugié politique espagnol évadé des prisons franquistes, elle porte à son tour la marque de l’exil. Après une première vie aventureuse et honteusement romanesque (elle s’enfuit à seize ans en Orient d’où elle ne reviendra que vingt ans plus tard), elle s’est sédentarisée dans la région lyonnaise. Elle a publié neuf romans, chez Actes Sud, J.C. Lattès, Les Escales, Héloïse d’Ormesson, Quidam – toujours le nomadisme, éditorial cette fois –. Mille ans après la guerre (Les Escales 2017), couronné notamment par le Prix Henri de Régnier de l’Académie française et le prix Lettres Frontière, a été traduit en espagnol et en arabe. Également poète, elle fait paraître en 2019 Les routes prémonitoires aux Éditions La passe du vent. Elle est titulaire d’un doctorat sur le Voyage en Orient de Gérard de Nerval, suivi d’une thèse d’État sur le conte oriental fantastique Vathek de William Beckford, ce qui est sans doute la manière la plus monomaniaque de perdre son temps.
Haut de page
Copyright 2025 Cufay. Tous droits réservés.