Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
REVUE FRANCO MAGHREBINE DE DROIT N 31: LA THEORIE DE L'APPARENCE EN DROIT PENAL MAROCAIN
EAN : 9782354124960
Paru le : 6 nov. 2025
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782354124960
- Collection : REVUE FRANCO-MA
- Editeur : Pu Perpignan
- Date Parution : 6 nov. 2025
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 594
- Format : 3.30 x 14.30 x 20.90 cm
- Poids : 716gr
-
Résumé :
L’apparence est une notion illustrant la spécificité du droit pénal. Elle réunit vérité et simulation car elle peut se confondre avec la réalité ou ne pas correctement la refléter et la masquer. L’apparence consiste alors en l’aspect d’une chose dont elle diffère. Cette illusion suscite de multiples questions en droit pénal où son rôle est central.
Ce numéro de la Revue franco-maghrébine de droit reprend une thèse de doctorat soutenue à Fès en février 2024 intitulée La théorie de l’apparence en droit pénal marocain. L’apparence est un thème de réflexion majeure en ce qu’elle illustre nombre des spécificités du droit pénal. En effet, le droit pénal a pour mission de sauvegarder l’ordre public et d’assurer une répression rapide -et efficace- des infractions, qu’il s’agisse de les sanctionner, d’interrompre leur consommation ou d’empêcher leur commission. Pour y parvenir, le législateur, le juge et la police s’appuient fréquemment sur les apparences en vue de formuler une « vérité judiciaire », à défaut d’atteindre la « Vérité absolue ». Les apparences permettent de constituer des indices et d’initier des présomptions qui autorisent des actes de l’enquête pénale et servent de substituts de preuve. Une gageure au regard du nécessaire respect du principe de légalité criminelle et aux libertés individuelles.









