La mort apparente et les inhumations

Dualpha - EAN : 9782353743414
GUSTAVE LE BON
Édition papier

EAN : 9782353743414

Paru le : 11 mai 2025

18,00 € 17,06 €
Epuisé
Arrêt définitif de commercialisation
Notre engagement qualité
  • Benefits Livraison gratuite
    en France sans minimum
    de commande
  • Benefits Manquants maintenus
    en commande
    automatiquement
  • Benefits Un interlocuteur
    unique pour toutes
    vos commandes
  • Benefits Toutes les licences
    numériques du marché
    au tarif éditeur
  • Benefits Assistance téléphonique
    personalisée sur le
    numérique
  • Benefits Service client
    Du Lundi au vendredi
    de 9h à 18h
  • EAN13 : 9782353743414
  • Collection : INSOLITE
  • Editeur : Dualpha
  • Date Parution : 11 mai 2025
  • Disponibilite : Epuisé
  • Barème de remise : NS
  • Nombre de pages : 158
  • Format : H:210 mm L:148 mm
  • Poids : 320gr
  • Résumé : La question de la mort apparente et des inhumations prématurées est une question qui, depuis longtemps, a attiré l’attention des législateurs et des savants. Aucune perspective n’est plus redoutable, en effet, que celle d’être enterré vivant ; et par tous les moyens possibles on doit s’efforcer de la prévenir. Un anatomiste célèbre, Winslow, fut le premier qui fit des études sérieuses sur ce sujet. En 1740, il publia sur la mort apparente une dissertation dont la conclusion était, qu’à l’exception des indices fournis par la décomposition cadavérique, il n’existait pas de signes certains de la mort… Quand il publie De la mort apparente et des inhumations forcées, en 1866, Gustave Le Bon affronte un problème posé globalement aux grandes villes euro­péennes modernes. Comment s’assurer légalement qu’une personne est effectivement décédée, quels délais ou quelles mesures respecter, quelles lois à définir ? (Jusqu’au détail nécessaire d’une cloche dans les morgues…) S’il s’agissait d’une simple question de médecine, tout irait vite. Mais la médecine aujourd’hui encore se confronte à un inconnu majeur : mort cérébrale, comas thérapeutiques, la façon dont une cellule émet pour son organisme le signal de sa mort nous demeure globalement une énigme, et continue de poser des problèmes éthiques et juridiques insolubles. Mais c’est bien sûr une porte symbolique qu’on ouvre : les morts-vivants, et ceux qui sortent à la nuit de leur tombe, ou ceux qu’on déterre avec les traces mani­festes d’un effrayant combat pour échapper à la tombe. Comment avoir confiance dans les signes de la mort, et lesquels sont fiables, si chaque fois une histoire prouve le contraire ?
Haut de page
Copyright 2025 Cufay. Tous droits réservés.