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Entretien avec genevieve dormann la petite soeur des hussards
Dualpha - EAN : 9782353742936
Édition papier
EAN : 9782353742936
Paru le : 11 mai 2025
25,00 €
23,70 €
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- EAN13 : 9782353742936
- Collection : PATRIMOINE DES
- Editeur : Dualpha
- Date Parution : 11 mai 2025
- Disponibilite : Epuisé
- Barème de remise : NS
- Format : H:200 mm L:140 mm
- Poids : 500gr
- Résumé : Auteur de nombreux romans à grand succès comme La Fanfaronne (1959), Le Chemin des dames (1964), La Passion selon Saint Jules (1967), Je t’apporterai des orages (1971), Le Bateau du courrier (1974), Mickey l’ange (1980), Le Bal du dodo (1989), La Petite Main (1995), d’ouvrages sur Apollinaire, Colette ou… le point de croix, engagée (à droite), proclamant haut et fort ses opinions royalistes, Geneviève Dormann (1933-2015) fut l’une des « grandes gueules » du monde littéraire de la seconde moitié du xxe siècle. À la fin des années cinquante, Geneviève Dormann est une jeune femme très jolie, très piquante. Les photos de l’époque nous montrent une blonde aux cheveux taillés court, fine, de taille moyenne. Son charme est très particulier et repose sans doute d’abord sur ses grands yeux et son large sourire qui révèle une rangée de dents bien plantées. Geneviève rêvait de devenir écrivain. Sa route va croiser très vite celle des fameux « hussards » : Roger Nimier, Jaques Laurent, Michel Déon, Antoine Blondin. Elle en est en quelque sorte la « petite sœur ». Ce combat des hussards, fait d’impertinence, d’insouciance et de panache, lui va comme un gant. Mais chez Geneviève Dormann, il y a quelque chose de plus : une incroyable capacité de refus. Refus du conformisme, refus de la banalité, refus de la répétition des jours qui se ressemblent. Toute son œuvre littéraire repose sur des bases autobiographiques. Et toute son œuvre est donc celle d’une révoltée, d’une passionnée, d’un corsaire des lettres, en quelque sorte. Son franc-parler, ses idées politiques exprimées sans circonlocutions (elle s’était fait tatouer une fleur de lys sur le poignet), ses sautes d’humeur, pouvaient lui valoir quelques inimitiés. Mais son talent, sa générosité, son caractère passionné étaient aussi au rendez-vous. Elle crevait l’écran, à la télévision, et avait toute sa place aux « grosses têtes » de Philippe Bouvard. Tout cela restera. Et plusieurs livres de ce hussard en jupons : Le Roman de Sophie Trébuchet (1983), Amoureuse Colette (1984) peuvent être considérés comme de vrais classiques. Elle laisse une œuvre, mais aussi le souvenir d’une très forte personnalité, ce qui a marqué à jamais tous ceux qui ont croisé sa route.