Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
LES VIEUX SOLDATS NE MEURENT JAMAIS
Belles Lettres - EAN : 9782251448305
Édition papier
EAN : 9782251448305
Paru le : 8 juin 2018
23,00 €
21,80 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782251448305
- Editeur : Belles Lettres
- Date Parution : 8 juin 2018
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 360
- Format : 3.00 x 12.40 x 19.00 cm
- Poids : 352gr
- Interdit de retour : Retour interdit
-
Résumé :
Sont ici réunies trois grandes figures de la littérature irlandaise du XXe siècle. Tout le monde ne connaît pas l’anecdote, restée célèbre, dont le poète Padraig Colum se servit pour clôturer sa préface à l’édition américaine des Contes d’un rêveur : « Dans le comté de Meath, au temps jadis, il y avait deux grands barons voleurs sur la route de Drogheda : Dunsany et Fingall. Et si vous échappiez aux mains de Fingall, vous tombiez inévitablement dans celles de Dunsany. »
Le grand baron avait du nez, et même du flair – on comprendra pourquoi en lisant le texte ici traduit – c’est lui qui dénicha – et même déterra – Mary Lavin avec la sûreté d’un épagneul déterrant un os exceptionnel, et préfaça son premier livre de nouvelles. Car les Irlandais, qui ont le génie des Pâques sanglantes, ont aussi celui des nouvelles, ces « romans rapides » selon l’heureuse expression de Natacha Michel. « Une histoire courte, nous dit Sean O’Faolain, si elle est réussie, est comme un cerf-volant d’enfant, une petite merveille, un moment lumineux. »
L’avant-propos, écrit en français, s’il vous plaît, est signé George Moore, qui rencontra Villiers de l’Isle-Adam au Rat mort, fut l’ami de Degas, de Manet, et fréquenta assidûment les Mardis de Mallarmé. « On s’instruirait à moins », écrivait Pierre Leyris.
P. R. -
Biographie :
Poète, essayiste et romancier, Patrick Reumaux a traduit de nombreuses œuvres de Dylan Thomas, Dorothy Parker ou Emily Dickinson.