LES DERNIERS JOURS DE LA CLASSE OUVRIERE

Stock - EAN : 9782234056398
FILIPPETTI AURELIE
Édition papier

EAN : 9782234056398

Paru le : 17 sept. 2003

20,00 € 18,96 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
  • Benefits Livraison gratuite
    en France sans minimum
    de commande
  • Benefits Manquants maintenus
    en commande
    automatiquement
  • Benefits Un interlocuteur
    unique pour toutes
    vos commandes
  • Benefits Toutes les licences
    numériques du marché
    au tarif éditeur
  • Benefits Assistance téléphonique
    personalisée sur le
    numérique
  • Benefits Service client
    Du Lundi au vendredi
    de 9h à 18h
  • EAN13 : 9782234056398
  • Réf. éditeur : 5456397
  • Collection : LA BLEUE
  • Editeur : Stock
  • Date Parution : 17 sept. 2003
  • Disponibilite : Disponible
  • Barème de remise : NS
  • Nombre de pages : 198
  • Format : 1.10 x 13.50 x 21.50 cm
  • Poids : 242gr
  • Interdit de retour : Retour interdit
  • Résumé : « Il y a six millions d'ouvriers en France aujourd'hui, six millions d'ouvriers dont plus personne ne parle.
    Qui racontera leur histoire, sinon leurs enfants, pour peu qu'ils aient eu la chance de faire des études, et de mesurer la distance qui les sépare désormais à tout jamais de leur milieu d'origine - ce mélange inédit de culture italienne, communiste, et ouvrière. Que ce soit la mine ou la sidérurgie, ce monde-là était solidaire, car « à la mine, un homme seul est un homme mort ». Personne, ou si peu, ne leur a rendu hommage, personne, ou si peu, n'a dit leur héroïsme quotidien - pourtant héros ils le furent, du travail, à huit cents mètres sous terre ou dans la fournaise du laminoir, de la guerre, de la résistance à la guerre d'Algérie. Héros enfin dans leur ultime combat contre l'assassinat programmé de leur région d'adoption, la Lorraine, où de plans sociaux en restructurations, plusieurs centaines de milliers d'emplois furent fracassés en vingt ans. Et les mines fermées. Les usines rasées. Ce roman vise à leur rendre une petite part de justice... » A.F
    Car il s'agit bien d'un roman qui porte un hommage juste et vibrant à la classe ouvrière du XXe siècle. À travers la figure centrale d'Angelo, rebaptisé Angel, fils d'immigrés italiens, ouvrier mineur pendant trente ans et maire communiste, se dessine le portrait de ces générations d'ouvriers frappés par l'exil, la guerre, les désillusions politiques et la récession économique. Et derrière, à leurs côtés, des épouses, des enfants, des collègues, toute une population cachée, sacrifiée, voire oubliée. Souvent honteuse. À qui l'auteur donne la parole.
Haut de page
Copyright 2025 Cufay. Tous droits réservés.