Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
Lettres retrouvées
Gallimard - EAN : 9782073126740
Édition papier
EAN : 9782073126740
Paru le : 9 oct. 2025
21,00 €
19,91 €
Bientôt disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
A paraître 9 oct. 2025
Notre engagement qualité
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782073126740
- Réf. éditeur : G11437
- Collection : BLANCHE
- Editeur : Gallimard
- Date Parution : 9 oct. 2025
- Disponibilite : Pas encore paru
- Barème de remise : NS
- Poids : 0gr
- Résumé : La correspondance entre Marcel Proust et Gaston Gallimard, publiée en 1989, dévoilait les relations entre Proust et son éditeur, souvent affectueuses, parfois conflictuelles. Ce corpus, autour de la publication de la Recherche à l'enseigne de la NRF, éclairait bien des zones d'ombre et brossait en creux les portraits de l'écrivain qui allait devenir universellement reconnu et de l'homme à l'origine de la plus emblématique maison d'édition française indépendante. Aux quatre cent sept lettres mises au jour à l'époque viennent s'ajouter cent sept lettres qui ont été retrouvées depuis. Elles complètent, avec à nouveau des lettres de proches collaborateurs de Gallimard, notre connaissance d'une remarquable histoire éditoriale à travers les moeurs et pratiques littéraires du début du XXᵉ siècle. Cette correspondance illustre la richesse du lien unissant l'auteur sûr de son génie et l'éditeur qui veut à tout prix le faire reconnaître et grâce auquel sa maison obtient son premier prix Goncourt.
- Biographie : Écrivain né et mort à Paris (1871-1922). Fréquente assidûment les milieux mondains et les salons littéraires de son temps. Adopte les conceptions esthétiques de Ruskin qu'il traduit. À la mort de sa mère, en 1905, s'isole de plus en plus dans sa chambre, luttant contre des crises d'asthme, pour parachever jusqu'au dernier instant son oeuvre majeure, dont plus d'un tiers sera posthume.