JavaScript seems to be disabled in your browser. You must have JavaScript enabled in your browser to utilize the functionality of this website.
Ce livret est le second d'une série de douze qui nous ouvre l'espace des traversées de A, de son parcours physique à travers ses errances, ses dérives, ses avancées tendues, ses rencontres. Ils paraîtront au fil des cinq prochaines années, dans une rythmicité soutenue. Après New York, 1989/93, où Antoine d'Agata passe deux années à L'ICP N.Y avec comme professeurs Nan Goldin et Larry Clark, il reprend la route et réalise ses premières images entre le Guatemala et le Mexique.
Ajouter au panier
S'accordant, comme par le passé, à se couler dans le cours évolutif du temps, des créations architecturales de toute nature se distillent en maints endroits, tout autant peuplés que désertiques Des bâtiments s'érigent et trouvent réalité en de multiples fonctions : officialité, habitat, culture, loisirs et sport ; ils créent l'environnement et prennent place pour l'usage et le confort de l'être humain où le plaisir de la beauté peut y trouver son compte, quand le geste désastreux d'un " talent " non accompli excelle à y coller un fâcheux miel à goût d'amertume Tout genre confondu, ces érections au quotidien de chaque époque continuent de fonder l'Histoire. Certaines débanderont de par leur absence de qualités, d'autres s'avéreront être d'un emploi et d'une esthétique acceptables. Les plus talentueuses seront hautement reconnues et jouiront de leur réussite.
Fasciné par l'Afrique et par les textes de Karen Blixen, Peter Beard a vingt-quatre ans lorsqu'il s'installe au Kenya. Il y développera une oeuvre d'une exceptionnelle originalité. Par ses photographies de grands fauves, de crocodiles et d'éléphants, par ses images d'un pays dont il vit le tragique au quotidien, dans sa pureté et dans sa sauvagerie, par son journal enfin où il mêle en un gigantesque collage les témoins de son "africanité" et les souvenirs d'une vie civilisée qu'il ne renie pas, Peter Beard est un cas unique dans l'histoire de la photographie contemporaine.
Marcher est peut-être - mythologiquement - le geste le plus trivial, donc le plus humain. Tout rêve, toute image idéale, toute promotion sociale suppriment d'abord les jambes, que ce soit par le portrait ou par l'auto.» Mythologies (1957) de Roland Barthes. À toutes les époques, écrivains, philosophes, artistes ont penché leur regard sur les jambes... plus souvent il est vrai sur celles des femmes. Ce livre propose d'observer le monde au ras du sol avec une vision limitée à mi-corps. Sans prétention, il n'est qu'un soupir humoristique, cynique, parfois charmant.
Identifiez-vous pour consulter vos prix remisés et commander